Francine Christophe avec ses parents, avant la guerre, années 1930

Mémorial de la Shoah/Coll. Christophe

Francine et son père mobilisé. France, septembre 1939

Mémorial de la Shoah/Coll. Christophe

Ordre de mobilisation. Les affiches sont placardées sur les murs de France en septembre 1939

Mémorial de la Shoah

Francine Christophe, septembre 1939

Mémorial de la Shoah/Coll. Christophe

L’exode des Parisiens sur les routes de France. Rambouillet, juin 1940.

Mémorial de la Shoah

Robert Christophe, le père de Francine, est fait prisonnier

Mémorial de la Shoah/Coll. Christophe

Affichette « Entreprise juive » apposée sur les boutiques et entreprises dont les propriétaires sont Juifs au regard de la loi de Vichy

Mémorial de la Shoah

Les propriétaires juifs de magasins ont l’obligation d’apposer sur leurs devantures une affichette jaune portant l’inscription « Judisches Geschäft – Entreprise juive ». Avis du préfet de police en application de l’ordonnance allemande du 18 octobre 1940.

(BHVP, coll. Zucca)

Mémorial de la Shoah

Lettre de Marcelle à Robert Christophe, interné à l’Oflag XVIIA, portant le tampon du service postal allemand des prisonniers de guerre (Mémorial de la Shoah/coll.Christophe) 25/--/1942

Carte d’identité de Madeleine Margolin frappée du tampon « juive » (Mémorial de la Shoah/coll.Margoline)

Carte d’identité de Salomon Lewkowicz frappée du tampon « juif » (Mémorial de la Shoah/coll. Allaux)

Des écolières, parmi lesquelles Micheline ZIBOULSKI, qui porte l'étoile jaune, posant dans la cour de l'école de la Cité Voltaire à Paris (11e), juin 1942.

(Mémorial de la Shoah/coll. MJDP, Baron)

L’étoile jaune en tissu que les Juifs de la zone occupée étaient obligés de coudre sur leurs habits (Mémorial de la Shoah)

Parc à Jeux « réservé aux enfants, interdit aux Juifs » Paris 1942

(Mémorial de la Shoah)

Soldats allemands au poste frontière de la ligne de démarcation séparant les deux zones, dites occupé et libre.

(Mémorial de la Shoah)

Soldats et officiers allemands, gendarmes et civils sur le quai de la Gare d’Austerlitz. Paris, mai 1941

(Mémorial de la Shoah)

Soldats allemands au poste frontière de la ligne de démarcation séparant les deux zones, dites occupé et libre.

(Mémorial de la Shoah

Fausse carte d’identité de Lucien Lublin établie au nom de Lucien Arquier (Mémorial de la Shoah/coll. Lublin)

Fausse carte d’identité de Sura Gielchorn établie au nom de Suzanne Lemant (Mémorial de la Shoah/coll. Waintraub)

Entrée gardée par un garde-mobile du camp de Pithiviers (Loiret). France, mai 1941

(Mémorial de la Shoah)

Dessin réalisé par Francine Christophe dans l’un des camps français où elle a séjourné avant d’être déportée (Mémorial de la Shoah/coll. Christophe)

Baraquements du camp de Poitiers (Vienne). France, 1940

(Mémorial de la Shoah)

Foule d'hommes devant des baraquements du camp d'internement de Beaune-la-Rolande (Loiret).France, 1941-1943

Bundesarchiv

Au camp de Beaune-la-Rolande, Francine suit la classe. Dans ce carnet elle note ses leçons (Mémorial de la Shoah/coll. Christophe)

Le « petit couteau fétiche » de Marcelle Christophe(Mémorial de la Shoah/coll. Christophe)

Camp de Drancy, 1942

(Mémorial de la Shoah)

Bon de colis à envoyer au camp de Drancy (Mémorial de la Shoah/coll. Christophe)

Bon colis accompagnant un envoi pour Francine Christophe au camp d’internement de Pithiviers (Loiret) (Mémorial de la Shoah/coll. Christophe)

Internés juifs au camp de Drancy, en 1942

(Mémorial de la Shoah)