Ordre de mobilisation générale, septembre 1939.

Mémorial de la Shoah

Contrôle d'identité des Juifs étrangers arrêtés par la police française, lors de la rafle du 20 août 1941 à Paris. (Mémorial de la Shoah)

Carte d’identité d’une femme frappée du tampon « JUIVE ».

Mémorial de la Shoah, coll. Benzecri

Carte d’identité d’un homme frappée du tampon « Juif ».

Mémorial de la Shoah

L’étoile jaune en tissu que les Juifs de de la Zone occupée étaient obligés de coudre sur leurs habits.

Mémorial de la Shoah  

Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs.

Mémorial de la Shoah 

Classe de l'Ecole publique, rue de l'Ave Maria, Paris 4ème arrondissement. France, été 1942

Mémorial de la Shoah/coll. Sabine Gartner Bromberg 

Hommes chargeant des meubles appartenant à une famille juive à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). France, avril 1942.

Mémorial de la Shoah/Coll. BNF

Carte individuelle d’alimentation frappée du mot « Juif »

Mémorial de la Shoah  

Carte individuelle d’alimentation frappée du mot « Juif »

Mémorial de la Shoah  

Officiers allemands en second plan dans le quartier des Halles, à Paris, en août 194.

Mémorial de la Shoah

Photo de classe, 1942

Irène Savignon est au premier rang, la deuxième élève en partant de la droite.

Mémorial de la Shoah/coll. Irène Savignon

Porte dorée, à Paris. C’est dans ce quartier qu’habitait « la mère Kiki », chez qui Irène Savignon a trouvé refuge pendant un temps (Coll. Josette N.)

Les listes des déportés rescapés des camps de la mort sont affichées à l’Hôtel Lutetia, Paris 1945.

Mémorial de la Shoah/coll. MJDP

La seule photo qu’Irène avait de son père à la fin de la guerre.

Mémorial de la Shoah/Coll. Irène Savignon

Rampe d’arrivée des convois de déportés à Birkenau (Auschwitz-Birkenau) en Pologne. Janvier 1945

Mémorial de la Shoah/photo Stanislaw Mucha

Couverture de la liste originale du convoi de déportation n°33 (Mémorial de la Shoah)

Liste originale du convoi de déportation n°33 sur laquelle figurent les noms des parents d’Irène. Les noms ont été mal orthographiés. Son père, Judelis Valachs figure sous le nom des Judiles Valachas et sa mère Leja apparaît sous le nom de Lykvita Valachiene. (Mémorial de la Shoah)